Elle craque, elle fond et nous laisse voir, Sa surface lisse, qui glisse, comme un miroir, Et c'est comme une deuxième vie qui part, Au cœur de l'hiver, Alors, du blanc ne restent plus, épars, Que nos pâles souvenirs d'hier ...
Ah ! Tu vois, Ptilou, nos routes se rejoignent, en quelque sorte :)
Allons Fleur, place à l'eau maintenant, la déferlante saisit la Meuse et s'étend partout. Résultat ? un goût de pseudo-printemps pas si désagréable, ma foi, pour nos vieilles douleurs ...
5 commentaires:
C'est presque beau comme du bitume...
;-)
ça fond, ça fond, mais il reste des plaques, des tas grisâtres et informes, vestiges des neiges d'antan.
Comme on dit dans la vallée de la Semoy, s'il reste de la neige pas fondue, c'est qu'elle en attend de l'autre.
Ah ! Tu vois, Ptilou, nos routes se rejoignent, en quelque sorte :)
Allons Fleur, place à l'eau maintenant, la déferlante saisit la Meuse et s'étend partout. Résultat ? un goût de pseudo-printemps pas si désagréable, ma foi, pour nos vieilles douleurs ...
Ne parle pas de tes vieilles douleurs à une ancêtre comme moi, tu n'es encore qu'un gamin.
Promis m'man :)))
Enregistrer un commentaire