Il y a des matins comme ça. On se réveille. Dans la chambre, on est bien. On se prend à avoir envie d'une petite aquarelle. Alors, doucement, on s'imagine des collines, des montagnes, une herbe verte digne des meilleurs mois de mai, des paysages naïfs peuplés de vaches et de chaumières, des paysages charmants, pleins de couleurs et de gaieté...
Ça y est, on est parti, on ne se retient plus : déjà on imagine ces verts tendres et ces bleus horizons, et où ai-je rangé la boîte d'aquarelle la dernière fois, déjà ? Enfin, n'y tenant plus, on s'habille ...
Ça y est, on est parti, on ne se retient plus : déjà on imagine ces verts tendres et ces bleus horizons, et où ai-je rangé la boîte d'aquarelle la dernière fois, déjà ? Enfin, n'y tenant plus, on s'habille ...
5 commentaires:
En fait, l'extérieur est net (bien que chargé de nuages, on le devine), et c'est l'homme derrière sa fenêtre qui semble vu au travers d'une vitre pleine de pluie.
Splendide !
j'aime bien cet homme qui tremblote et dégouline, et la netteté du paysage rêvé.
Ouah!
Comme La Mère Castor,
j'aime beaucoup la silhouette fugace devant la fenêtre!
C'est vrai quoi, il y a des jours où, même la pluie vous embête :)))
Mais Archie, on se fout de la pluie, puisque le paysage verdoyant est dans ta tête!! Ne laisse pas l'eau délaver tes envies...
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