En grand, la porte-écran,
Profite du soleil levant,
Pour faire son cinéma.
Lanterne magique,
Qui, dans l'ombre, fabrique,
Toutes sortes de chinoiseries ...
Poussez-là, tout disparaît !
Ne reste en place,
Qu'un souvenir fugace,
Juste le rappel d'un rideau au crochet ...
Puis, un peu comme au théâtre,
Les trois coups opiniâtres :
Je pousse la porte bleue,
Je saisis mon manteau,
Le rideau se lève, et ...
La journée peu commencer.
Rien qu'à moi !!!
Il y a 9 mois
6 commentaires:
On m'a dit pourtant que,
quand tu sors de tes gonds,
c'est pas de la dentelle !
Non, je déconne.
Je n'ai aucun espion à Charleville.
Duga
Enfonceur de portes ouvertes
C'est vrai que je suis ronchon, des fois ... mais seulement quand vraiment on m'a cherché :))
Derrière la porte ?
Duga
Oh ... Derrière ou devant, peu importe :))
J'aime aussi cette période d'automne où le soleil est encore assez puissant et coloré, mais un peu plus bas sur l'horizon de telle sorte que le matin ou le soir, il projette des ombres chinoises sur le mur (ou sur la porte) d'en face, que ce soient des rideaux, des bouquets, des statuettes, des profils de meubles etc...
Une vision insolite de l'environnement quotidien.
Comme tu l'aimes je pense ?
Duga
C'est vrai. Et j'ajoute que les lumières du soir et du matin sont toujours les plus belles.
Ce doit être l'incidence de la lumière qui met en valeur les moindres bosses, les plus petits reliefs et qui fabriquent des ombres gigantesques ...
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